Petite revue de presse sur les pollutions atmosphériques en ville.
Veille qui sera complétée au fil du temps.
Pourquoi autoriser le chauffage au bois en particulier dans une ville comme Gentilly déjà tant exposée à de multiples sources de pollutions atmosphériques et d'autres origines ?
Argumentaire pour interdire les feux de cheminée en ZFE !
Pollution et feux de cheminée
Particules fines : une étude de l’ENS – PSL montre l’importance des informations personnalisées sur les émissions pour lutter contre la pollution du chauffage au bois
le 19 décembre 2024
"Le chauffage au bois résidentiel est responsable de plus de pollution aux particules fines que le trafic routier et l'industrie.
Une nouvelle étude menée par Rita Abdel Sater (Département d’études cognitives, Ecole Normale Supérieure - PSL), Mathieu Perona (CEPREMAP), Elise Huillery (Dauphine Paris - PSL) et Coralie Chevallier (Département d’études cognitives, Ecole normale supérieure - PSL) met en lumière l'efficacité d'informations personnalisées pour réduire cette source majeure de pollution et améliorer la santé publique grâce à des interventions ciblées.
Intitulée "The power of personalised feedback: Evidence from an indoor air quality experiment", cette étude a été publiée dans le journal Behavioral Public Policy."
(...)
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"La pollution aux particules fines, générée par les activités humaines, causerait en France 48000 décès par an et les dommages sanitaires de cette pollution auraient un coût annuel de 20 à 30 milliards d’euros."
ADEME
Pollution de l'air : le plaisir de la cheminée va-t-il faire long feu ?
28/01/2022
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"Le feu de cheminée, champion des émissions
Alain Laplanche, président de l'association Air Breizh, chargée de surveillance de la qualité de l’air, et agréée par le Ministère de l’Environnement donne quelques exemples
"Les chauffages au bois qui émettent le moins sont les centrales biomasse qui ont des puissances thermique importantes, plus de 20 MGW. En revanche, une petite centrale thermique va émettre 4 fois +, une chaudière à granulés 5 fois +, un poele à granulé 12 fois+, un poêle à bois 24 fois +. Une cheminée ouverte 100 à 150 fois plus."
(...)
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Le maire de Londres s’attaque aux poêles « écolos »
Pour réduire la pollution de l’air, Sadiq Khan a pris cet hiver une mesure radicale en interdisant les poêles à bois dans les nouvelles constructions.
Publié le 29/06/2023
(...) "Le chiffre donne des sueurs froides. 92% de la population mondiale vit aujourd'hui dans une zone où la concentration de particules dans l'air est supérieure aux valeurs préconisées par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). En France, la pollution serait responsable de 40.000 décès par an et d'une baisse de l'espérance de vie de près de huit mois, selon Santé Publique France. Lors du premier confinement, en 2020, 2.300 décès avaient pu être évités en raison de la baisse des émissions du trafic routier et du recours massif au télétravail, qui a réduit l'exposition des populations aux particules fines. (...)"
Un enjeu sanitaire majeur
"Le chauffage au bois, premier émetteur de particules fines
Le chauffage au bois domestique constitue le principal émetteur de particules fines en France, représentant à lui seul 50% des émissions de particules du pays. Si la ressource en bois est souvent perçue comme durable, le chauffage au bois peut en revanche se révéler désastreux pour la qualité de l'air lorsque la combustion est effectuée dans de mauvaises conditions. L'hiver, la pollution est encore plus marquée, car les fortes émissions de particules sont couplées avec la formation d'une couche d'inversion empêchant le brassage atmosphérique."
(...)
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Les feux de cheminée polluent vraiment
Lundi 22 décembre 2014
"L'interdiction des feux de cheminées dans les foyers ouverts à Paris et dans plus de 400 communes d'Ile de France était inscrite dans le plan de protection de l'atmosphère et devait entrer en vigueur le premier janvier. Mais la ministre de l'écologie l'a trouvée "ridicule" et a contesté le fait que ce type de chauffage participe à la pollution de l'air par les particules. Elle a donc demandé au Préfet d'interdire l'interdiction. Pourtant, c'est une évidence, la combustion du bois pollue réellement."
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Dans cette ville, les soirées au coin du feu pourraient bientôt être interdites, voici pourquoi
25 novembre 2024
"Aux Pays-Bas, Utrecht a décidé de faire la chasse aux poêles à bois. Elle pourrait ainsi devenir la première commune du pays et probablement du monde à interdire complètement ce mode de chauffage. Et il y a une bonne raison à cela. Explications."
(...)
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Au Royaume-Uni, la pollution tue 40 000 personnes par an dont 4 000 à Londres
"En Angleterre, la zone de faible émission vient d’être étendue au Grand Londres, soit 1 570 kilomètres carrés. Un moyen notamment de lutter contre l’asthme qui touche plus de 200 000 enfants dans la capitale anglaise"
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La pollution du chauffage au bois, un sujet tabou ?
"Ce type de chauffage est responsable d’importantes émissions de particules fines, en particulier en ville. Pourtant, peu d’actions sont entreprises pour limiter ses effets néfastes."
Londres devient plus pollué que Beijing
25 janvier 2017
En cause: les basses températures, l’utilisation de poêles à bois et de véhicules diesel.
Transition écologique : des médecins appellent à cesser de subventionner le chauffage au bois
TRIBUNE. Une part importante du budget sert à financer le développement du bois énergie. Une aberration sanitaire et climatique, dénonce un collectif de médecins et d’associations dans une lettre à la ministre de la Transition écologique.
Par un Collectif de médecins et d'associations*
Publié le 29/10/2024
(...)
Une biomasse à préserver
"Rappelons que le bois énergie regroupe la production de chaleur et d'électricité par la combustion du bois, et inclut donc le chauffage au bois collectif (centrales industrielles et collectives) et des particuliers (bûches ou granulés). Le bois énergie, souvent considéré comme une énergie « renouvelable » et « bas carbone », bénéficie à ce titre de larges subventions et d'aides publiques. L'Agence de la transition écologique (Ademe) distribue chaque année des centaines de millions d'euros pour soutenir son développement. Il bénéficie également d'une TVA réduite à 10 % (contre 20 % pour le bois d'œuvre), du Fonds chaleur (dont une part importante est utilisée pour financer les installations de biomasse), du Fonds air-bois, de MaPrimeRénov', de la prime CEE, et est exonéré de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE).
Or les émissions de dioxyde de carbone (CO2) issues de la combustion du bois sont loin d'être négligeables. Brûler du bois pour produire de l'énergie émet plus de CO2 que le gaz naturel, le charbon ou le fioul par kilowattheure produit. À cela s'ajoutent les délais de régénération des forêts : il faudra plusieurs décennies pour que le CO2 émis par la combustion du bois soit à nouveau séquestré, ce qui rend son usage inadapté dans un contexte d'urgence climatique, comme l'ont rappelé des scientifiques du Giec, qui estiment que le développement du bois énergie augmentera d'au moins 10 % les émissions de gaz à effet de serre dans les dix prochaines années.
De plus, le puits de carbone forestier s'effondre et certaines de nos forêts émettent désormais du CO2. En seulement dix ans, elles ont perdu la moitié de leur capacité d'absorption du carbone."
Un enjeu sanitaire majeur
(...)
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Gentilly est en ZFE ? Pourtant :
Gentilly, qui possède une forte densité de population et en particulier le quartier du Plateau sont coincés au cœur d'un triangle délimité par les deux branches de l'autoroute A6 et le boulevard périphérique parisien ainsi que les voies du RER B.
Lire sur notre site Web nos analyses 2017 toujours d'actualité :
ASPECTS DE SANTÉ PUBLIQUE SPÉCIFIQUES DE GENTILLY
Pollution de l’air : en Europe, les particules fines ont tué 239 000 personnes en 2022
Lire la suite :
La pollution de l’air augmente le risque de cancer du sein.
"Près de 1 700 cancers du sein sont chaque année en France attribuables à la mauvaise qualité de l’air, estime une étude. Trois polluants sont principalement mis en cause, comme le dioxyde d’azote."
Lire la suite :
Le bruit !!!!
En Europe, plus d'un demi-million d'enfants souffrent de difficultés de lecture à cause de la pollution sonore
Lire la suite :
Dessin inspiré du "Cri" d'Edvard Munch.On y voit le personnel central se prenant la tête, entouré des sources de bruit infernal de notre époque : Motards, voitures, camions, avions, bateaux à moteur, souffleuses à feuille à moteur, haut-parleur diffusant fort de la musique, personne hurlant dans un gueulophone, haut-parleur de smartphone. Difficile d'échapper au vacarme...
POLLUTION SONORE (Dessin paru dans la Décroissance, oct. 2024) https://h4.io/ATDaniii/113492683820385844
Et puis, dans l'environnement pour la santé : il ya les perturbateurs endocriniens "au sens large : les polluants intrants artificiels toxiques" Et Pfas !
A regarder plusieurs liens vers reportages en vidéos
📺 Pour voir le reportage : Disponible jusqu'au 12/08/2024
Jouets, meubles, électroménagers, isolants : des produits chimiques se sont immiscés dans tous les objets du quotidien. Il s'agit des retardateurs de flamme. Supposés prévenir l'inflammation, ces composés invisibles et inodores sont surtout dangereux pour la santé. Ils sont classés perturbateurs hormonaux et soupçonnés d'être cancérigènes. Chez les pompiers, les cas de cancers se multiplient. Pendant un an, avec l'aide de scientifiques américains et européens, Mathilde Cusin, Martin Boudot et l'équipe de "Vert de rage" ont réalisé des dizaines de prélèvements à travers la France pour mesurer la contamination des soldats du feu aux retardateurs de flamme.
🔗 Pour en savoir plus sur PELIF :
Perturbateurs endocriniens : le bracelet révélateur (version courte)
Réseau Environnement Santé (RES)
Reportage avec des lycéens de l'Ile-de-France
Les catabolites qui passent dans les milieux naturels, issus, par exemple, des médicaments
Analyse des enjeux pour une approche intégrée en Île-de-France
SANTÉ ET BIODIVERSITÉ - ÉTAT DES CONNAISSANCES
Février 2023
A télécharger :
(...)
"Conclusion
Préserver la biodiversité tout en maximisant les bénéfices pour la santé nécessite une
évolution des pratiques, ainsi plusieurs préconisations ont été élaborées :
- Le décloisonnement des politiques publiques à l’échelle du territoire afin de
privilégier des approches transversales des stratégies et des actions
- L’association des collectivités afin de mettre en œuvre des politiques publiques
adaptées, cohérentes impliquant de nouveaux acteurs dans la décision
- L’amélioration des connaissances favorisant la compréhension éclairée des
risques potentiels grâce au déploiement de la recherche pluridisciplinaire au cœur
des territoires et un soutien à l’ingénierie territoriale
- L’appropriation et l’acculturation des acteurs aux enjeux relatifs à la santé et à la
préservation de la biodiversité par le biais de la sensibilisation, la formation, le
dialogue et l’accompagnement par des structures ressources."
Etc... Etc... Etc...
A suivre prochainement...
Des solutions ?
Oui une solution majeure : "vivre au bon air des jardins en ville" (lire notre article avec nos voeux 2023 - ci-dessous).... entre autres propositions ainsi que toutes nos publications et préconisations.
& Interdire les feux de cheminée dans les villes déjà classée en ZFE et sous contraintes environnementales fortes comme à Gentilly.
Lire : "Santé avec le Projet OCBO : avancement, école dehors... Actualités scientifiques."
24 décembre 2022
=> Sauvegardons la nature en ville. Il faut agir maintenant !
EXTRAIT -pour amorcer les enjeux climat et pollutions):
"L’îlot de chaleur urbain
Toutes les surfaces artificielles génèrent de la chaleur en excédent, la température moyenne en ville étant supérieure de quelques dixièmes de degrés (bourg de petite taille) à plusieurs degrés (métropole) par rapport à celle de la campagne environnante. Par exemple, un écart de 4 °C a été observé entre le centre de Paris et les bois périphériques lors de la canicule de 2003.
Pour comprendre pourquoi, plusieurs facteurs sont à prendre en compte.
L’ICU augmente avec :
La chaleur due aux activités humaines (combustion, climatiseurs, chauffage, serveurs…).
La nature et la couleur des matériaux : béton, asphalte, tuiles et autres matériaux minéraux et synthétiques sombres qui absorbent l’énergie solaire le jour, et la réémettent la nuit (rayonnement thermique).
La hauteur et l’espacement entre les bâtiments : une forte densité de bâti piège l’air chaud et limite le refroidissement des surfaces et des murs. Les immeubles de haute taille et les extensions horizontales de la métropole provoquent un ralentissement aérodynamique, limitant l’évacuation de la chaleur.
À l’inverse, les facteurs d’atténuation sont :
Les sols naturels, la végétation et l’eau : un sol constitué de gravillons contient des poches d’air (isolantes), qui limitent l’absorption de chaleur et sa couleur claire réfléchit le rayonnement solaire. L’eau a, elle, un fort pouvoir rafraichissant, grâce à l’évaporation en surface. La végétation en bonne santé joue le même rôle, par sa transpiration. Elle peut se développer dans tous les interstices du bâti, plus facilement et durablement que des nappes d’eau.
L’ombre : les sols ombragés par les bâtiments riverains, des ombrières (structures destinées à fournir de l’ombre) ou par des arbres de haute taille accumulent moins de chaleur.
Les sols, murs et toits clairs réfléchissant la lumière du soleil. Ils emmagasinent donc moins de rayonnement que les matériaux sombres. En revanche, la réflexion du soleil peut aggraver la chaleur de l’air à proximité de la surface dans la journée.
Localement, les surfaces chaudes provoquent une dépression atmosphérique, qui favorise la circulation de l’air venant des périphéries plus fraîches (brise thermique nocturne.
De même, le relief favorise pendant la nuit la circulation de l’air vers le bas des pentes.
Ce qu’il faut préserver et améliorer
"Les arbres existants, qu’ils soient implantés dans des espaces verts, le long d’alignements, ou dans des cités-jardins, de même que les zones perméables non recouvertes de bitume, les terrains de sport non recouverts de revêtements synthétiques, doivent être préservés, multipliés et étendus.
Les zones agricoles situées à l’extérieur de la Métropole du Grand Paris pour la plupart (ex. Plateau de Saclay, Triangle de Gonesse), doivent aussi être conservées ou préservées, car les sols y sont perméables et relativement frais (hors longue période de sécheresse). À l’échelle du territoire, il est indispensable de conserver les zones de faible densité urbaine, car elles apportent une surface de sol naturel intéressante (jardins individuels ou de petits groupes d’immeubles), et un potentiel de circulation de l’air par la faible hauteur de bâti.
C’est pourtant l’inverse qui se produit dans la Métropole du Grand Paris. Les cités-jardins, du fait du vieillissement du bâti, sont menacées de destruction, alors qu’elles devraient être réhabilitées et classées, car ce modèle d’urbanisme est pertinent à la fois d’un point de vue social et bioclimatique.
Les nouvelles constructions dans d’anciennes zones pavillonnaires classées comme des îlots d’habitats dans le Mode d’Occupation des Sols (Inventaire numérique de l’occupation des sols en Île-de-France établi par l’Institut Paris Région) occupent l’essentiel du terrain, les jardins étant détruits. La multiplication des infrastructures souterraines limite également les possibilités de végétalisation. Les aménagements pour les Jeux olympiques et paralympiques sont à cet égard insuffisamment vertueux.
Les projets urbains en cours de réalisation pour cette échéance ont été conçus il y a dix ans à une époque d’insouciance aujourd’hui révolue. En témoigne la récente remise à jour du Schéma directeur de la Région Île-de-France. Ces projets devraient ainsi être amendés pour réduire l’impact des vagues de chaleur (notamment prohiber les revêtements sombres des immeubles (murs, volets et toits), favoriser la circulation de l’air dans les appartements, isoler les murs par l’extérieur, espacer les immeubles et les entourer de jardins arborés de pleine terre.
De même, les projections de croissance démographique et de besoins en logements de la Métropole du Grand Paris devraient être réactualisées à l’aune de l’ère post-pandémie de Covid-19, qui les a réduites."
Végétaliser certes, mais comment ?"
Lire la suite :
En complément de notre petite (grande, immense) bibliographie argumentée
...
On attend toujours... de ne pas sombrer en-dessous du seuil actuel de 4m2 d'espaces verts publics par habitant dans une ville très carencee avec facteurs aggravants...
...
Il manque toujours là volonté municipale de s'engager vraiment pour finaliser le projet OCBO qui ne peut exister qu'en finissant de nettoyer la parcelle 45 pour laquelle nous avons 80/100 du financement
Ces terrains sont communaux
L'association ne souhaite pas se les approprier et ne se positionne qu'en médiateur et animateur pour le projet qui a pourtant obtenu par appels d'offres successifs des soutiens du département, de la région et de la mairie
Et puis rien !
...
Nous patientons
Ça devient long, très long face aux défis et enjeux globaux à relever dans de multiples domaines et dimensions "sociétales "
Vivre et non survivre...
...
Canicule et urbanisme : arrêtons de densifier nos villes !
Publié: 15 juillet 2020
Voir notre chapitre : https://www.ilotvertgentilly.com/densite-logements
DENSITÉ DE LOGEMENTS ET BUREAUX VIDES
Le 2ème quartier le plus dense de Gentilly - Un quartier carencé en espaces verts - Un quartier enclavé entre périphérique et A6A - Coupé par la voie ferrée du RER B - Perché sur un Plateau (une pente à plus de 12% pour rejoindre le seul espace vert de la ville d'un peu moins un hectare pour 20.000 habitants, sans compter étudiants, travailleurs, touristes, etc...).
Corriger les fractures (Quartier - Ville), intercommunales, départementales, régionales - Oct. 2019
Dernière mise à jour : 31 mars
Première rédaction de Posts et Tweets sur ce sujet, 26 août 2019.
Actualité 2019 de Gentil'îlot vert :
ACTU' / Cette semaine, nous avons suivi à distance, un Colloque très intéressant
"Colloque "De la réserve intégrale à la nature ordinaire, Les figures changeantes de la protection de la nature (20e–21e siècle)" organisé par Association pour l'Histoire de la Protection de la Nature et de l'Environnement (AHPNE) 29- 30 sept. visio-conf
"Le Courrier de la Nature a consacré son numuréo spécial 2019 à la nature ordinaire : quelle est-elle ? Comment l’étudier ? La protéger ? La nature ordinaire est celle qui nous entoure, avec laquelle nous vivons au quotidien, composée d’espèces communes"
Extraits : "Le souci d’une nature banale, commune, familière, anthropisée et souvent utilitaire a pris une part significative, mais souvent oubliée, dans l’éveil et l’élaboration d’une pensée favorable à la protection de la nature en général, dans la définition et la mise en oeuvre d’actions en ce sens, (...)"
Dans : Dossier : Histoire de la protection de la nature en France La nature ordinaire, facteur d’éveil Par Rémi Luglia. Dans numéro spécial 2019 Courrier de la Nature.
A lire avant que les vidéos de ce colloque ne soient mises en ligne d'ici quelques semaines :
Livret du colloque (32 pages) et programme disponibles ici : http://www.cgedd.developpement-durable.gouv.fr/de-la-reserve-integrale-a-la-nature-ordinaire-les-a2902.html
Le lien ci-dessus est rompu il faut aller là :
De la réserve intégrale à la nature ordinaire. Les figures changeantes de la protection de la nature (XIXe-XXIe)
Copie d'écran... Intervention
"Quelle place de la nature spontanée en ville ? Une approche écologique et sociale" par Sébastien Bonthoux, écologue, Institut national des sciences appliquées Centre-Val de Loire (INSA) de Blois.
"Il était question d'éducation ce matin.
Et bien au lieu d'en parler en classe, il suffit d'aller dans une friche à proximité pour y être un "botaniste"... et être à son contact"
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